Archives de l’auteur : tavernedespoetes

Vivent les soirées Truffaut sur Arte ! I Y’a ceux qui aiment l’amour à deux, Et ceux qui cherchent des plans scabreux. Ceux qui font ça en toute hâte, Ceux qui font ça à trois ou quatre. Moi, si c’était … Continuer la lecture →

I Comme un oeuf jamais fécondé Qui ne pourra jamais éclore, Mon coeur encagé dans ce corps Ne pourra pas être sondé. Enchenillé dans ce cocon, Il ne sera jamais fécond. Comme un jour tout lui fut volé, Il ne … Continuer la lecture →

I Quand sur la Corne de l’Afrique Un jour l’Europe mit sa Botte. Elle dit « pour cette partie d’Afrique J’ai trouvé le nom qui me botte : Mogadiscio ! » Passant la Méditerranée, Les Italiens, ces gens bizarres, Ont … Continuer la lecture →

I J’ai de l’amour à votre endroit. Alors je vous écris en vers. Vous êtes étudiante en droit, Et moi de passage à Anvers. Experte en jurisprudence Ai-je fait preuve d’imprudence ? II Je vous compose quelques strophes, Je vous … Continuer la lecture →

I Quand je m’promène sans ma muse. Les gens me voient et s’en amusent. Ils me voient aller et venir, Passer encore et revenir. Dans la salle des pas perdus, Moi son amoureux éperdu, J’erre comme une âme en pénitence … Continuer la lecture →

Je ne m’amuse Pas sans ma muse. Sans elle, Je n’ai plus mes ailes. Pour le meilleur et pour le pire C’est elle seule qui m’inspire. Sans elle je me sens vidé, Sans elle je n’ai plus d’idées. Je ne … Continuer la lecture →

I Bel ouvrier ou monte-en-l’air, Compagnon ou cambrioleur, – Mais pas vous messieurs les violeurs -, Venez vous envoyer en l’air ! Bel ouvrier ou maître-queue, Ou jeune rôdeur en rodage, De toutes conditions, de tous âges Veuillez s’il-vous-plaît faire … Continuer la lecture →

I C’était le temps des ouvriers. On voyait briller dans la nuit Les forges et les ateliers. Le dimanche, c’était l’ennui. C’était le temps des usines Des corons et des Penn sardins. Les longues cheminées fumaient Et le dimanche on … Continuer la lecture →

Il faisait chaud dans l’atelier. Alors vous vous découvriez. A la tâche vous vous atteliez. Enfin, le soir vous m’ouvriez Les portes de votre atelier. Le torse nu, vous m’appeliez. Là dans la sueur et l’essence, Vous faisiez chavirer mes … Continuer la lecture →

I Je me pique d’aimer Epicure J’aime l’amour et pas ses piqûres. J’aime la rose et pas l’épine. Les orties sont pas mes copines. J’ai peur des piqûres, c’est bien triste, De l’infirmière et du dentiste. II Oui je m’adonne … Continuer la lecture →