Lillie de l’Illinois (chanson réaliste)

J’écris désormais davantage de chansons à tonalité humaniste.

Mon dernier album contient par exemple « Pauvre de moi si je ne  suis pas riche de toi ». L’album précédent l’histoire d’Huguette.  Rappel ci-dessous. Puis ma nouvelle  chanson « Lillie de l’Illinois ».

petitechanson

Lillie de l’Illinois (chanson réaliste)

I

A Chicago dans le Middle West
Une dame de condition modeste
A un vieux chat pour seul ami.
Et cette dame c’est Lillie.
Aujourd’hui c’est jour de drame :
Elle va boire sa dernière tisane.

Lillie noie son chat
Dans la rivière de l’Illinois.
Lillie noie son chagrin
Dans une tisane de thé chinois.

II

A Chicago dans le Middle West
Une dame complètement à l’ouest
Une veille dame de Chicago.
C’est Lilly, elle a le coeur gros.
Gros à péter sans greffe d’organe
Alors elle boira sa dernière tisane.

Lillie noie son chat
Dans la rivière de l’Illinois.
Lillie noie son chagrin
Dans une tisane de thé chinois.

III

A Chicago dans le Middle West
Son voisinage la déteste.
Pourtant elle a le coeur gros
Gros à se répandre en sanglots
A remplir le lac Michigan.
Elle va boire sa dernière tisane.

Lillie noie son chat
Dans la rivière de l’Illinois.
Lillie noie son chagrin
Dans une tisane de thé chinois.

IV

A Chicago dans le Middle West
Elle acccomplit l’acte funeste.
Elle confie son vieux chat Céleste
Aux soins du paradis céleste.
Puis au fond de sa caravane,
Elle avale sa dernière tisane…

Lillie a noyé son chat
Dans la rivière de l’Illinois.
Lillie a noyé son chagrin
Dans une tisane de thé chinois.

Voris Bian

Publié dans Mes créations musicales et poétiques | Laisser un commentaire

Sarkozy balayé par le grand tsunami de l’Histoire

Désormais, il nous faut penser l’avenir selon des schémas nouveaux, la parenthèse Sarkozy va s’achever en 2012.

Le vent de l’Histoire a soufflé et le sarkozisme, déjà affaibli par ses errements et  ses erreurs, a perdu toute crédibilité. Marcher comme un forcené contre le sens de l’Histoire ne vous aide pas à remporter une élection…

Le destin est ainsi tracé. Dès le démarrage en fanfare, Sarkozy allait contre l’Histoire en prônant le développement des subprimes, en instituant le bouclier fiscal alors que la crise allait renforcer encore davantage les inégalités, en imposant le traité européen au mépris de la volonté du Peuple qui s’était exprimé et alors que l’aspiration à la démocratie est générale, en négligeant l’exigence populaire de probité de la classe politique, en creusant les déficits de manière jamais atteinte jusqu’ici. Et je m’arrête ici car la liste est tellement longue.

La plus grave erreur de Sarkozy aura été de marcher contre l’Histoire en soutenant les dictateurs coupables de corruption, et même pour l’un d’entre eux de crimes contre l’Humanité. Quand Khadafi sera tombé, on saura jusqu’où la complicité aura poussé les choses. Les peuples arabes spoliés et martyrisés se sont levés avec succès et pendant ce temps que faisaient Sarkozy et sa clique ? Des affaires, rien que des affaires (Woerth, Copé, MAM, Ollier…) ! L’Histoire ne pardonnera pas une complicité aussi active avec les forces de la réaction et de la terreur.

Sarkozy n’a rien anticipé, rien accompagné, il n’a été d’aucune aide dans ce mouvement d’ampleur historique qui va redessiner totalement la géopolitique. Si gouverner, c’est prévoir, le constat est sans appel : Sarkozy n’a jamais gouverné. Il a profité, juste profité. Son clan sortira enrichi de cette funeste parenthèse de cinq années (mais plus en réalité car il jouait un rôle important dans le gouvernement Chirac). La France, elle, en sortira appauvrie et affaiblie.

S’imaginer que Sarkozy peut se régénérer alors qu’il est au maximum à 30 % dans les sondages est irréaliste. Encore faut-il retrancher de ce score la part de bonus au président en titre, bonus qui va sauter quand les candidatures adverses vont s’affirmer. Sarkozy n’a plus d’atouts. Des atouts, il en a eu : la présidence de l’Europe, la présidence du G20, la possibilité de réformer les règles lors de la crise financière. Il a grillé toutes ses chances et n’a rien fait du tout pour ce qui est des deux derniers points.

Il tirera ses dernières cartouches pour conserver un minimum de crédibilité et faire passer ses dernières réformes, mais nous entrons désormais dans l’ère des apparences et du bluff. Miser sur Sarkozy pour 2012 est ringard, has been.

Sarkozy sera prochainement éliminé du paysage. Il nous faut à présent penser l’ère post-Sarkozy.

Publié dans Non classé | Un commentaire

La réforme de la dépendance : le financement

Une mission sénatoriale était chargée de plancher sur le thème du « financement mixte de la prise en charge de la perte d’autonomie des personnes âgées, autrement dit « reposant sur un niveau élevé de solidarité nationale complétée par une couverture assurantielle volontaire« .

Elle a rendu sa copie le 1er février. Le rapport est conçu comme un « guide pour le débat ». Je vais présenter simplement les choses…

I – Le rapport de la mission : résumé

La mission sénatoriale était présidée par Philippe Marini (UMP) et co-présidée par Jean-Jacques Jégou, sénateur MoDem et spécialiste des finances sociales.

La mission sénatoriale a défendu l’idée de solliciter « les patrimoines les plus élevés » pour « améliorer de façon ciblée la solvabilisation des personnes âgées dépendantes à domicile« . Elle suggère qu’à « l’entrée en dépendance« , une personne âgée résidant à son domicile doive faire le choix entre :

– une APA à taux plein mais avec une « prise de gage de 20 000 € au maximum sur la fraction du patrimoine dépassant un seuil déterminé, à fixer entre 150 000 et 200 000 € »,

– une APA d’un montant diminué de moitié, sans mise en jeu du patrimoine.

La proposition n’a pas fait l’unanimité au sein de la mission.

Prenant le contre-pied de la députée Valérie Rosso-Debord, auteur d’un précédent rapport, la mission sénatoriale écarte la mise en place d’une assurance obligatoire et plaide au contraire pour le développement de l’assurance dépendance volontaire. Elle prône l’inclusion automatique d’une couverture dépendance aux contrats de complémentaire santé/prévoyance souscrits sur la base d’une adhésion individuelle.

Il est question aussi de la création possible d’une nouvelle journée de solidarité. Ce serait, selon Alain Vasselle, « la piste la plus solide dans la perspective d’un partage égal de la charge de l’APA entre l’État et les départements ». Calquée sur le modèle actuel, une seconde journée de solidarité « permettrait de dégager au total 2,3 milliards d’euros », indique le rapport.

Source : Rapport  Sénat n°263, 26 janv. 2010

II – Les observations de Jean-Jacques Jegou

Le vice-président de la mission a affirmé que « le débat sur la prise en charge de la dépendance ne se réduit pas, bien sûr et heureusement, à ses considérations financières, elles constituent néanmoins un des paramètres incontournables du problème à résoudre » Il se démarque ainsi de l’UMP qui traite ce dossier quasi-exclusivement avec des yeux de gestionnaire et souvent même avec l’idée de privatiser le système. Le sénateur du MoDem rappelle aussi que, s’il faut réfléchir aux futures sources de financement, il ne faut pas oublier que les plans d’aide dans le cadre de l’APA sont souvent trop justes ou insuffisants, et laissent un reste à charge très élevé sur les épaules des familles. Effectivement, une étude de la Drees sur les montants des plans d’aide accordés aux bénéficiaires de l’APA à domicile montre que dans 26% des cas, l’aide suffit tout juste ou ne suffit pas à couvrir les besoins.

Face à l’enjeu énorme du coût futur de la dépendance, Jean-Jacques Jegou estime que la charge de l’effort ne saurait peser sur les seules générations actuelles d’actifs et qu’il convient « d’engager une réflexion sur l’augmentation de l’effort contributif des retraités aux dépenses liées au de vieillissement de la Nation« . Son amendement en ce sens n’a pas été retenu (lors de la loi de finances 2011) et il déplore que le Parlement a décidé de reporter sur les générations futures une charge qu’il souhaitait encore pleinement assumer il y a 5 ans.

LIEN vers l’article de Jean-Jacques Jegou

III – Diverses remarques personnelles

Si les choses étaient très simples, on pourrait imaginer un financement tripartite de la dépendance selon l’origine principale de la dépendance, comme suit :

– dépendance due principalement à la vie professionnelle : financement par la branche accidents du travail – maladie professionnelle de la Sécu

– dépendance due au handicap : financement par l’aide sociale. La solidarité nationale jouerait ici à plein en raison de la nature « régalienne » du handicap pour l’aide sociale au même titre que la protection de l’enfance. En raison aussi du caractère non prévisible et limité du risque qui ne justifie pas une couverture assurantielle générale.

– dépendance due à la vieillesse : financement par la personne, sa famille et en dernier ressort par l’aide sociale. Rappelons ici les règles de l’aide sociale : elle est subsidiaire (elle n’intervient qu’après épuisement des autres droits), elle n’est qu’une avance (récupération possible – partielle – sur succession et donataires). Evidemment, la personne se garantirait du risque dépendance par une assurance qu’elle souscrirait vers la cinquantaine.

Avec ce système, on ne chercherait pas la cause dominante au cas par cas mais il serait mené une étude pour définir les pourcentages des causes par catégories de population. Puis un protocole  national répartirait les charges globales entre les financeurs et on créerait un caisse unique pour un paiement sous forme d’allocation unique.

Mais, vous l’aurez compris, les choses sont plus complexes que cela…

Parmi les solutions envisagées dans le débat actuel, celle d’une journée de solidarité supplémentaire reposerait sur les seuls salariés et on ne toucherait pas aux patrimoines mêmes les plus colossaux et les plus extravagants ! Pour ce qui est de l’assurance obligatoire dès 50 ans, l’assurance n’aurait pas d’effet immédiat puisque en vertu d’un principe des assurances, celles-ci ne prennent pas en charge les risques présents mais seulement les risques à venir. Il faudrait donc, de toute façon, une forme de financement autre dans l’attente que les assurances jouent à plein (plusieurs décennies).

L’affaire n’est pas terminée. François Fillon a confié au nouveau président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) le soin de préparer un rapport sur le sujet (avis sur les principaux enjeux et sur les différentes évolutions envisageables, sur « la répartition du financement des dépenses, sur le coût des mesures et les modalités de financement préconisées).

Le rapport devra être finalisé d’ici le mois de juin. Affaire à suivre donc…

Publié dans Social | Laisser un commentaire

Exil d’un breton à Washington (song)

DSK m’a inspiré une chanson… (Et pourquoi pas ?)

Exil d’un breton à Washington

Oh j’ai brûlé mes ailes sur des terres lointaines
Au loin, trop loin de l’enfance bretonne
Je courais, je courais, je courais dans la lande.

(Choeurs) : Je veux partir loin d’ici : ohé ohé !
Retrouver mon herbe tendre. Qu’on me délivre d’ici !

Dans cette lande qui est sans bornes
Sans loi ni ordre, comme l’était notre enfance,
On jouait ! On jouait, nos K-way dans la lande.

Gloria, gloria hallelujah
Gloria, gloria hallelujah
Gloria, gloria hallelujah
J’étouffe à Washington.

Kenavo, Bretagne,
Ar wech all !
Tu sais que je t’aime, où que j’aille.
Bientôt toutes mes douleurs quitteront ce cœur…

Texte improvisé sur l’air de la Trilogie américaine :
(pour la musique, c’est là, par exemple)

Oh I wish I was in the land of cotton
Old things they are not forgotten
Look away, look away, look away Dixieland

(choeurs) Oh I wish I was in Dixie, away, away
In Dixieland I take my stand to live and die in Dixie

Cause Dixieland, that’s where I was born
Early Lord one frosty morning
Look away, look away, look away Dixieland

Gloriay, gloria hallelujah
Glory, glory hallelujah
Glory, glory hallelujah
His truth is marching on

So hush little baby
Don’t you cry
You know your daddy’s bound to die
But all my trials, Lord will soon be over

Publié dans chansons - slams - humour poli politique, Mes créations musicales et poétiques | Laisser un commentaire

Boris Boillon, préfet de Tunisie

J’ai déjà eu l’occasion d’évoquer le cas de ce diplomate à tomates vendredi sur ce blog.  Si je reviens sur le sujet, c’est que l’actualité confirme le mal que je disais du bouillonnant Boillon.

Peu me chaut que l’homme se pavane sur la toile en maillot de corps (décent). Il a le droit comme tout un chacun de mettre en avant son anatomie et ses muscles saillants. Mais qu’il abuse de la première personne et du « moi » sarkoziste » comme représentant de la France dans un pays où des évènements récents ont pourtant montré qu’il fallait y aller avec prudence, alors là je dis : pure connerie !

Agresser les journalistes d’un pays où la liberté de la presse est une idée toute neuve, ne me paraît pas malin non plus mais témoigne bien du fait que l’Elysée et le Quai d’Orsay se fichent totalement des Droits de l’Homme et de ce que j’appelle l’arabitude.

Il peut jouer les stars mais pas comme ambassadeur.

Vous me direz au point où Sarkozy et l’épouvantable MAM ont descendu notre diplomatie, on n’a plus rien à perdre. Ce n’est pas une raison.

Le pire, c’est cette impression donnée au peuple tunisien d’un retour à l’époque colonialiste, Boris Boillon, l’homme de Sarkozy, nommé pour jouer les préfets ! Bien sûr que le clan sarkoziste espère récupérer quelque chose en Tunisie faute de pouvoir revenir au « bon vieux temps » de l’ami Ben Ali. Mais il n’a toujours pas compris que le peuple tunisien est intelligent. J’oserai même dire : plus intelligent que lui. Et cela se voit…

C’est une véritable erreur de casting. Le caractère, la personnalité de Boillon sont aux antipodes de ce que requiert la situation en Tunisie. En plus, c’est bête, l’Elysée a envoyé le seul ambassadeur parlant couramment arabe dans un pays où le français est largement répandu.

Publié dans International, Mes créations musicales et poétiques | Laisser un commentaire

DS-K 2000 ! Heu…2012

k2000

« Les exploits d’un chevalier solitaire dans un monde dangereux. Le chevalier et sa monture ! Un héros des temps modernes, dernier recours des innocents, des sans-espoir, victimes d’un monde cruel et impitoyable.

Un homme seul, un chevalier solitaire, un héros des temps modernes, Michael Knight DSK, roule vers de nouvelles aventures. »

J’en fais trop ? C’est un peu pourtant comme cela qu’il s’est présenté, non ? Le sauveur des petites gens de l’Europe !

Comme j’avais envie de m’en amuser, j’ai hésité entre K 2000 et « Lettre à France » de Michel Polnareff que j’aurais bien entendu un peu parodiée.

« Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi tout bas
Tu es à six heures de moi
Je suis à des années de toi
C’est ça être là-bas.

La différence
C’est ce silence
Parfois au fond de moi.
Tu vis toujours au bord de l’eau
Quelquefois dans les journaux
Je te vois sur des photos… »

Etc.

Bon, c’est désormais sûr, il est candidat. Mais pas officiellement. Il veut incarner l’espoir et l’innovation. Mouais… Cela signifie qu’il  se débarrassera du PS. Je rigoooole oh la la ! Quoique…

Mon impression : Il en impose et clairement il fait bien plus crédible que Sarkozy qui, face à lui, se prendra une déculottée.  Sarko a beau renvoyer son rival dans sa fonction de directeur général du FMI (comme à l’époque où Mitterrand renvoya Chirac à son statut de premier ministre) et laisser croire à plusieurs reprises que c’est lui qui l’a fait, l’autre se montre assez malin pour marquer sa liberté. Sarko le ramène à son statut pensant l’inférioriser ? Raté ! L’autre brandit son statut comme une arme ! Cela l’aide même à éviter de descendre dans l’arène où l’attendent pas seulement  les bouledogues de l’UMP mais aussi les roquets du PS.

Et Bayrou, comment va-t-il se situer à présent ? Le président du MoDem est intervenu ce week end pour dénoncer l’instrumentalisation de l’Islam à des fins électoralistes de façon dangereuse. Heureusement qu’il l’a dit car sinon qui le dirait ? DSK ? Ah ben non, il n’a pas le droit de s’exprimer. Ne dressons pas les Français les uns contre les autres. Et ne tournons pas le dos à l’arabitude.

Publié dans Non classé | Laisser un commentaire

La petite chanson

Mon dernier album. 3 petites chansons faisant preuve de légèreté dans l’ambiance actuelle. 3 univers très différents.

petitechanson

Publié dans chansons - slams - humour poli politique, Mes créations musicales et poétiques | Laisser un commentaire

Elle est venue, l’arabitude

Elle est venue l’arabitude
Là où tout tenait par habitude.
Ne croyant pas en l’avenir,
Ils ne l’avaient pas vu venir…

Chanson !

L’arabitude

Elle se lève
Et elle te bouscule
Elle te réveille pas,
L’arabitude.

Tu crois
Qu’elle t’atteindra pas.
Tu ris aux éclats
Par habitude.

Et toi,
Tu lance des « je veux » ! »
Des « regardez-moi ! »
Par habitude.

Et toi
Tu lui tournes le dos
A l’arabitude !

Comme d’habitude
Toute la journée
Tu vas jouer
A faire semblant
Comme d’habitude
Tu vas sourire
Comme d’habitude
Tu vas même rire
Par habitude
Enfin ça va tenir
Par habitude

Et puis
Le sang coulera
Et elle reviendra
L’arabitude

Toi
Tu viendras mentir
Dans notre télé
Comme d’habitude

Et nous
On va s’ennuyer
A te regarder et à t’écouter
Comme d’habitude

Nos larmes
Tu les cacheras
Comme d’habitude

Mais comme d’habitude
Malgré l’ennui
Tu vas jouer
A faire semblant
Comme d’habitude
Tu mentiras
Comme d’habitude
Tu tricheras
Comme d’habitude
Tu nous souriras
Comme d’habitude

Publié dans chansons - slams - humour poli politique, International | Laisser un commentaire

Naboléon Sarkozitrone

A la fête du trône,
Y’avait Ubu et tous ses clones,
Eric le roi des hippodromes
Et Bernard le ministre aphone.

Aux pieds de Naboléon Sarkozitrone
Il y a ses chanteurs d’électrophone,
Les journaux et les microphones.
Il leur dit quoi mettre dans leurs colonnes.

Comme à son habitude, il plastronne,
Il klaxonne, il fait des tonnes,
Comme un cyclone
Et il ordonne.

Quand soudain paraît la patronne.
Alors avec sa mine poltronne
Il accourt vers vers cette Madone
Et prend ses ordres au dictaphone.

A la fête du trône,
Y’avait Ubu et tous ses clones,
Qui vendent la France sur Amazon.
Et ce qui reste ils le siphonnent.

Publié dans chansons - slams - humour poli politique | Laisser un commentaire

UMP, les bienfaits des dictatures et le financement des mosquées

Les bienfaits de la dictature sanglante version Eric Raoult : vidéo « Ben Ali a fait du bien à son pays »

Question : Et l’UMP fait-elle du bien à notre pays ?

Benoît Apparu, secrétaire d’Etat au logement : « L’Etat doit financer la construction de mosquées ! » Avec les 245 millions piqués cette année par l’Etat aux HLM par exemple ? Il a de curieuses obsessions le ministre censé donner priorité à la politique du logement… Et lui, est-ce qu’il « fait du bien » à notre pays ?

Question : Combien de millions êtes-vous prêts à payer en plus sur vos impôts pour financer les mosquées ?

Publié dans International | Laisser un commentaire