Alliot-Marie, si tu savais

Chanson (parodie de notre grand Johnny)

Alliot-Marie, si tu savais
Tout le mal que tu nous fais
Alliot-Marie, si tu pouvais
Dans ta connerie
Te reposer

La Tunisie n’est pas la France.
Tu n’as aucun droit d’ingérence
Pourtant au tyran tu offrais
Ton aide infâme et insensée.

Et rien ne sera jamais plus pareil
Tu dis plus d’horreurs que de merveilles
Tu es devenue folle à lier
Je donnerais tout pour t’oublier

Alliot-Marie, si tu savais
Tout le mal que tu nous fais
Alliot-Marie, si tu pouvais
Dans ta connerie
Te reposer

Elle court toute la journée
Ta bêtise et c’est mauvais
Dans le bruit dans la fumée
Je vois des ombres s’entretuer

Demain ce sera le grand jour
Il faudra faire preuve de bravoure
Pour monter au front en première ligne
Alliot-Marie, je t’en prie, fais-moi un signe

Tu nous a donné la gerbe, je m’éveille
J’ai vu la mort dans son plus simple appareil
Elle m’a promis des vacances
Oui la mort m’a promis sa dernière danse

Alliot-Marie, si tu savais
Tout le mal que tu nous fais
Alliot-Marie, j’attendrai
Que l’Enfer vienne
Pour te trouver

Ce texte est dédié à Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur jusqu’en Tunisie et étrangère aux affaires étrangères et qui voulait combattre la chienlit par la bénalie…Jean (Alliot)-Marie Le Pen voulait sans doute enseigner la gégènothérapie aux milices de Ben Ali pour mater les « terroristes » tunisiens…On me dira « point Godwin ». Je répondrai « Point du tout : apprenez à reconnaître les méthodes fascistes quand elles sont sous votre nez ! »

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Poupoupi Douds, l’album

maryline

3 chansons inédites qui ont été publiées sur ce blog il y a quelques jours mais que j’ai adaptées à mes compositions musicales.

Je recherche toujours des interprètes, bien que j’en ai trouvé un très bon (amateur comme moi) pour certaines chansons plutôt poétiques (bientôt, je les publierai sur le blog !).

J’ai fait de mon mieux pour l’interprétation, car on me soupçonne de masscacrer exprès pour rire. Mais non ! Pas toujours… Je demande l’indulgence du jury ; je n »avais jamais chanté avant de créer ce personnage de Voris Bian il y a plus d’un an sur Jamendo. Voilà la raison. Interpréter permet de mettre en forme des chansons « clés en main » en quelque sorte même si les les musiques ne sont que des propositions. A propos, comment trouvez-vous la musique que j’ai composée pour « Le juge de Franche-Comté ? Heu…la musique, pas la voix, nous sommes d’accord.

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Huguette et l’Angolagate

I

Elle a tout vu, Huguette,
Du Watergate à l’Angolagate.
Et ça la laisse muette, Huguette.
Mais toujours gaite.

Huguette,
Ce qui la rend gaite,
C’est la farigoulette
Que ses vieilles mains guettent
Sur le marché des Minguettes.

Refrain :

A la télé, on passe quoi ?
Ah, c’est encore l’affaire Pasqua.
Dernier degré sur l’échelle de l’humanitude.
Elle retourne à ses habitudes.

II

Elle s’en fout, Huguette,
De l’Iran-gate et du Karachigate.
Mais elle est en alerte, Huguette.
Et toujours gaite.

Huguette,
Ce qui la rend gaite,
C’est le souvenir de la guinguettte
Où elle dansait la tanguette
Du temps de la Mistinguett.

Refrain :

A la télé, qu’est-ce qu’on voit ?
Tapie qui donne de la voix.
Dernier degré sur l’échelle de l’humanitude.
Elle retourne à ses habitudes.

III

Ce qui la rend gaite,
C’est son homme au sourire Colgate,
Qui l’embrassait sur l’Golden Gate,
Son tatouage « never forget ».

Elle a connu, Huguette,
La passion sur le Golden gate.
Toujours le cœur en alerte, Huguette.
Elle est toujours gaite.

Refrain :

A la télé, c’est la Star Ac
Et une vieille affaire Chirac.
Dernier degré sur l’échelle de l’humanitude.
Elle retourne à ses habitudes.

IV

Elle regarde pas, Huguette,
Ni les vedettes ni les Stargate,
Ni les cinglés de la braguette.
Elle préfère acheter sa baguette.

Huguette,
A toujours le cœur en goguette.
Et te taille la mort en languettes !
A son étal, le chaland guette.
Oui, mais pas elle, non pas Huguette !

Refrain :

Alors demain il se passe quoi ?
Elle s’en fiche comme de Charles Pasqua.
Huguette retourne à son humanitude.
Vivre le reste de ses habitudes.

Voris Bian

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MAM et son coup de Kärcher

D’abord une mise au point après avoir lu et entendu tout et n’importe quoi : Madame Alliot-Marie a bel et bien proposé une offre de service sécuritaire à des miliciens à la solde du dictateur car ce sont bien des miliciens qui se cachaient derrière le terme officiel de police. Ils ont fait régner la terreur, tué de sang-froid et ils continuent de perpétrer des crimes après le départ du dictateur. Il ne s’agit pas là d’une police républicaine au service de la population.

Par conséquent, Madame Alliot-Marie bafouait le principe de non-ingérence en se proposant d’aider les contre-révolutionnaires.

MAM s’est en réalité comporté comme un ministre de l’Intérieur et non comme ministre des Affaires étrangères. Tout comme s’il s’était agi de passer un coup de Kärcher sur la « racaille ».

Je maintiens que cela est inexcusable et injustifiable.

Alors que Barack Obama faisait le bon choix, celui de l’armée et du peuple, MAM, aveuglée par sa vision ultra-sécuritaire, prenait le parti de la pire des polices et du dictateur contre le peuple tunisien.

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Le renouveau de Carthage

I

A Carthage
Il régnait sans partage
Jamais en ballotage
Et le peuple en otage.

A Tunis,
Il gérait ses milices
Soumises à ses caprices
Qu’on appelait la police.

Refrain :

Ils se sont fait des tunes, easy
Sur le dos de la Tunisie.
Mais le pouvoir va changer de main,
C’est la révolution de jasmin !

II

A Carthage,
Il gérait l’héritage
Faisant avec battage
Miroiter ses mirages.

A Tunis,
Il maniait l’artifice
Cachant par sa malice
Ses actions prédatrices.

Refrain :

Ils se sont fait des tunes, easy
Sur le dos de la Tunisie.
Mais le pouvoir va changer de main,
C’est la révolution de jasmin !

III

A Carthage,
Il menait le pillage
Au mépris des dommages,
Au mépris du chômage.

A Tunis,
Il tirait bénéfice
Des forces corruptrices,
De sa famille complice.

Refrain :

Ils se sont fait des tunes, easy
Sur le dos de la Tunisie.
Mais le pouvoir va changer de main,
C’est la révolution de jasmin !

IV

De Carthage,
Nous n’avions que l’image
Des agences de voyage
Et jamais davantage.

De Tunis,
Une image très lisse
De séjours de délices.
Mais tout était factice.

Refrain :

Ils se sont fait des tunes, easy
Sur le dos de la Tunisie.
Mais le pouvoir va changer de main,
C’est la révolution de jasmin !

V

A Carthage,
Tous les grands personnages
Venaient lui rendre hommage
Puis il fit un carnage.

A Tunis,
La France grande complice
Offrit ses bons services
Aux funestes milices.

Refrain :

Ils se sont fait des tunes, easy
Sur le dos de la Tunisie.
Mais le pouvoir va changer de main,
C’est la révolution de jasmin !

VI

De Carthage,
On tirait tant d’avantages
Qu’on songea au sauvetage
Du tyran sans courage.

De Tunis,
On tirait bénéfice
Des jeunes sacrifices
De toutes les injustices.

Refrain :

Ils se sont fait des tunes, easy
Sur le dos de la Tunisie.
Mais le pouvoir va changer de main,
C’est la révolution de jasmin !

Aujourd’hui l’avenir se partage
Au prix des sacrifices.
La carte à jouer est propice
A l’esprit nouveau de Carthage.

Voris Bian

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Où sont passés les clairvoyants ?

Non ! Pas les voyants. Juste les clairvoyants.

La révolution de Tunisie les a décimés plus sûrement qu’avant. Avant, ils pouvaient encore donner le change, mais après, leurs masques sont tombés, les impostures se révèlent au grand jour. Leur prudence confortable confine à l’extrême frilosité, pour ne pas dire à la trouillardise. Ces derniers jours sur le web ou dans les médias, on pouvait naviguer entre les propagandistes, les communicants, les citoyens égo-buzzeurs dans le silence assourdissant des intellectuels. Oui, je fais un lot de tout ça et c’est la vérité.

« Voltaire ! Beaumarchais !  » Permettez que j’appelle de vrais intellectuels…

Mon dieu ! Ce n’était pas bien joli tous ces élus du Peuple qui légitimaient la répression sanglante de Ben Ali ou qui se défilaient face aux question gênantes. L’UMP ne voyait les choses que comme une situation à gérer. Gérer est la seule chose que sache faire ce parti. Et gérer de façon injuste et brutale, faut-il le rappeler ? Le PS : « hou hou ! Y’a quelqu’un ? » Partis honorer les restes du vieux Mitterrand. Tournés vers le passé, pas vers la jeunesse, pas vers l’avenir. Il est vrai que dès qu’il causent d’avenir, il s’étripent : « moi ! » Non, moi ! » Et les militants du MoDem ? Ben, ils sont bien gentils, et le site democrates.fr reprenaient un tas d’articles sur la Tunisie. C’est vrai et je dois le reconnaître. Comme je dois admettre que Yann Wehrling a pris une attitude courageuse et claire. Mais le patron, échaudé par le coup de griffe du vieux pseudo-révolutionnaire-soixante-huitard-de-mes-deux, suivi d’un fulgurant et impressionnant ictus en direct à un moment où il fallait pas, est apparu hors du coup. La question est : était-il avec les autres ? Si oui, ce serait assez paradoxal pour un tribun du peuple, héraut d’une démocratie rénovée. En tout cas, je lui recommande les polyvitamines et c’est pressant.

Où sont passés les clairvoyants ? Pas du côté de BHL en tout cas, pas du côté des journalistes, pas du côté de la blogosphère où l’on fait son buzz, où l’on commente la télé et ses personnages redondants, ses pitres égocentriques et superficiels. Hélas, aujourd’hui le peuple remet son destin aux mains des gestionnaires, par peur de l’avenir. Après Nicolas, Dominique ! DSK vous fait-il rêver ? Non, mais on a peur…Tu parles d’une raison ! La ferveur n’est plus. Si ! En Tunisie et au Maghreb. Ici, en France, nada. Par conséquent, le vote démocrate n’est plus un vote passion mais un simple vote de raison, a minima, pompé par DSK… On a évincé le peuple et ses « lubies ». Une bonne claque lors des manifestations des retraites et hop ! le voilà calmé, résigné, soumis, amoureux des gestionnaires plus ou moins profiteurs du système qui nous broie.

Qui sont les rebelles ? C’est bien simple : une poignée de vieillards (Cohn Bendit, Eva Joly, Stéphane Hessel 95 ans !) Dont deux importés. Permettez que je ne compte pas le fantoche et incompétent Olivier Besancenot au compte des rebelles crédibles. Ni ce vulgaire Mélenchon, cet instable qui prétend à la fonction suprême exigeant un minimum de sang-froid.

Et voilà où nous en sommes. Une classe de politiciens dépassés, un peuple résigné, et trois vieillards. Et moi-même qui touche à la cinquantaine bientôt (49 en février) obligé de venir sur le web baffer quelques consciences endormies à un âge où Brassens pouvait se retirer pépère avec sa guitare et son chat près de l’âtre non loin de sa Fernande, pour y faire ses chansonnettes. Il est vrai que je n’ai ni chat ni cheminée et pas de cheveux grisonnants ni de moustache. Quant à Fernande… Mais revenons au sujet. Ne suis-je pas en droit d’estimer que les jeunes pourraient se bouger un peu le cul. Serait-ce trop leur demander de donner le coup de main ? Voilà, c’est dit. Je me considère, à vrai dire, comme un artiste émargeant au club des réservistes, plutôt qu’à l’avant-garde du militantisme.

Quant à la clairvoyance, qu’est-ce que c’est au juste sinon l’attitude qui consiste à toujours se poser des questions. En voici une à méditer : trouvez-vous que le pouvoir respecte l’esprit de notre Marseillaise, cet hymne à la démocratie et à la citoyenneté, ce chant de guerre contre la tyrannie ? Moi, je dirai plutôt qu’il lui pisse dessus ! Ces jours derniers en furent encore le témoin.

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Madame Fouché-Alliot-Marie

La comparaison avec Joseph Fouché me vient naturellement quand j’observe cette femme indigne de notre démocratie. Elle peut paraître excessive, un excès de poète ? Et pourtant, rapportée à notre époque, elle n’est pas incongrue. Madame Alliot-Marie n’a-t-elle pas proposé son soutien répressif au dictateur Ben Ali, sans prononcer un seul mot de compassion pour les victimes assassinées ? Réveillez-vous ! Interrogez votre conscience ! Pensez à ce qu’en auraient dit nos aïeux !

Dans une démocratie digne de ce nom, elle aurait dû démissionner. Ou le peuple l’aurait poussée dehors. Mais en France rien et chacun applaudit devant sa télé. Ou ne dit mot, ce qui est pareil.

Elle ajoute le ridicule à l’ignominie. La voici qui prétend organiser la Tunisie : « Nous prenons acte de la situation nouvelle et nous disons très fermement que l’aspiration des Tunisiens à plus de démocratie et à plus de liberté ne pourra être satisfaite que si des élections libres sont organisées dans les meilleurs délais« . Mais, madame Fouché, croyez-vous vraiment que vos mots franchissent la Méditerranée et que le peuple tunisien en a quelque chose à faire ? La parole de la France est méprisée, vous l’avez salie. Par ailleurs, il y a belle lurette que le peuple tunisien – qui n’a pas attendu vos traitres conseils – est au travail en train de préparer l’alternance, bref l’avenir ! L’avenir est une chose qui vous ignore et à juste titre : vous n’êtes rien !

Madame Fouché-Alliot-Marie, vous êtes une méchante mouche du coche.Et comment vos permettez-vous de parler de «  l’aspiration des Tunisiens à plus de démocratie et à plus de liberté » ? Cessez de souiller dans votre bouche ces si jolis mots !

Si vous restez aujourd’hui en place, c’est seulement parce que votre patron ne vaut guère mieux que vous. Et la France tout entière bientôt guère mieux…

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Comment la France a laissé tomber la Tunisie

Il est des journalistes, des politiciens et aussi des blogueurs qui, aujourd’hui, se félicitent de  la tournure des évènements, certains allant jusqu’à presque dire qu’ils avaient  prévu les choses. Malheureusement, la réalité est tout autre : la France dans son ensemble avait complètement lâché le peuple tunisien et elle avait donné son soutien au dictateur.

Il y a seulement quelques jours, quand nul ne pouvait prévoir la suite des troubles, chacun y allait de sa justification : le maintien de l’ordre, le risque islamiste, l’exemple de l’Iran du temps du Shah (il fallait oser : en Tunisie, l’islamisme ne paraît pas prêt de faire sa révolution !)(1). Bref, tout était bon pour se défiler devant l’aspiration légitime d’un peuple à se débarrasser de son tyran qui pille toutes les ressources du pays. Ou bien alors on y allait de son couplet sur la nécessaire prudence ou « réserve » (mot employé par l’indigne Alliot-Marie qui devrait mourir de honte et démissionner). Mes commentaires en faveur de la révolution qui se mettait en marche était votés négativement sur des forums citoyens ! (curieusement ces commentaires ont fait le plein de votes positifs après ! Et donc  je n’ai plus la preuve de ce que j’avance) Les blogueurs se sont montrés complices de la pensée dominante en s’abstenant, en se défilant.

Quelle était la préoccupation des blogueurs alors ? Je vais vous le dire : c’était de savoir s’il fallait être pour ou contre Eric Zemmour ! Le buzz à l’apogée de sa bêtise !

Seul Yann Wehrling a eu le courage d’exprimer ce que tous les Français auraient dû affirmer à l’unisson s’ils se prétendent encore démocrates du pays de Droits de l’Homme et du Citoyen.  On n’a pas entendu François Bayrou. Sans doute un ictus inopiné l’a-t-il fait opiner, ou pas…On ne saura jamais. Dupont-Aignan s’est exprimé à son tour. Les autres ? Tous complices.

J’ai dit que la France me faisait honte et c’est encore le cas. Nos leaders sont dépassés. Complètement archaïques. Incapables de comprendre la jeunesse de Tunisie.

Ainsi on a laissé Ben Ali assassiner plus de 70 compatriotes. On l’a laissé partir avec une tonne et demie d’or, et plus encore.

Car, quelle a été la tactique du tyran et de sa famille de profiteurs pendant ces évènements ? Gagner le maximum de temps au prix de dizaines voire de centaines de morts si besoin pour assurer leurs arrières entendez par là : amasser le fortune la plus considérable possible. La France les a appuyés de tout son poids dans cette entreprise. Avec sans doute l’espoir de récolter quelque bénéfice pour son oligarchie de puissants.

La France, comme souvent l’amie de toutes les dictatures et de tous les puissants du monde, était enthousiaste à accueillir le despote déchu ainsi que sa famille et sa fortune si n’était cette considération d’ordre public qui pouvait inquiéter le pouvoir en place…

La France a fait le maximum pour enfoncer le peuple tunisien et pour ruiner ses richesses. Sourde à la démocratie, sourde aux droits de l’Homme, elle me fait honte.

Vive la Tunisie et bonne chance à ce peuple courageux et dynamique qui a su ne compter que sur lui-même !

(1) Aujourd’hui encore le Figaro se justifie après coup en évoquant le retour possible en Tunisie d’un islamiste (?) modéré (sinon Londres l’accueillerait-elle ?) et à vrai dire has been, prenant les Tunisiens sans doute pour des idiots et des fanatiques en puissance. Car ce qui me trouble le plus dans cette histoire c’est le peu de crédit que les Français accordent à ce peuple pourtant bien éduqué…

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Cadeau 2011 ! 127 belles chansons gratuites

Pourquoi acheter de la musique ? Aujourd’hui on trouve de bons titres sur les sites gratuits comme Jamendo, le plus connu. Je vous avais déjà fait connaître ma playliste de musiques classiques à Noël. Voici la quintessence de la chanson française sur Jamendo. Bonne écoute en compagnie de tous ces artistes talentueux francophones ! (cliquez sur l’affiche)

quintessence

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Ma sélection hebdomadaire de chansons (1)

Oui je sais, j’aurais dû commencer début janvier mais l’idée vient seulement de me venir. Chaque semaine, je vais proposer ici ma sélection de chansons en vidéos. De préférence des artistes peu connus.

Commençons par Juliette qui est désormais connue et dont le talent est immense : Juliette « patronne »

Yves Jamait « Des mains de femme »

Frasiak  » T’étais pas né »

Jean Vasca : « Les fabuleuses » (1963)

Frédéric Fromet : « La chasse aux sans-papiers »

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