Je ne m’alimente plus des lointains et des rythmes d’ailleurs.
Mais qui me franchit aujourd’hui s’ensauvagera.
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Sur ma brebis galeuse de chemin, c’est encore le plus aveugle qui va droit.
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Heureusement qu’il y a ton rire comme un diamant du temps. La douceur de tes mots délectables.
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Tu es la fleur des fleurs. Tu souris chaud.
Mon sourire te répond infiniment.
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Laboureur d’éclairs , j’ai voulu naviguer trop grand. J’ai voulu vivre le monde à pleine allure. J’ai bu aux robinets de sa splendeur.
Toute la page : Paul Cosquer 9 août 2011