« Quel beau cul ! » (DSK)

Petite revue de fesses, pardon de presse…

« Quel beau cul ! » s’exclama à haute voix DSK devant le personnel navigant de l’aéroport Kennedy en s’adressant à une hôtesse. C’étaient ses derniers mots d’homme libre. Dans les minutes qui suivirent, il se faisait cueillir par la police de New York.

« Quel beau cul ! »Le french lover dans toute sa splendeur, son élégance, son style raffiné. Un poète en somme. (source : Le Point)

Mais il n’est pas la seule personnalité française à proférer des énormités. C’est même un concours national en ce moment. Après les complotiste Boutin et consorts (même le sérieux Attali s’y est mis), voici que Jack Lang déclare qu’une agression sexuelle, bah ! « Il n’y a pas mort d’homme » et de toute façon la juge n’est pas neutre puisqu’elle est en campagne électorale. Faux! Elle est nommée par le maire de New York. (source L’Express) Et BHL de s’avancer dangereusement en affirmant de toute son aura de philosophe engagé que les femmes de chambre ne viennent pas d’ordinaire à plusieurs nettoyer les piaules des hôtels. Si ! répond le correspondant permanent de l’Express qui réside à Manhattan depuis 1991 : « Pour les clients simples mortels, même Directeurs généraux du FMI, elles viennent faire le ménage toutes seules, avec leur chariot, leur aspirateur, leurs rouleaux de PQ, et leur eau de javel. Si si, je vous l’assure, Bernard. Sans arrière-pensées, sans envisager le moins du monde une rencontre lubrique et torride avec l’occupant des lieux. Sur quelle planète loge t-il, lui ? »

Même les call girls qu’ils payaient, il les maltraitaient. Lire le Figaro. Soi-disant pas violent selon ses amis…

Allez ! On termine en parodies de chansons connues…

« Quand il arrive en ville »

Quand il arrive en ville,
Les filles changent de trottoir.
Il joue trop les virils,
Il fait trop peur à voir.

Il perdit son mobile
Ça vous paraît bizarre
C’est p’t être qu’il est débile
C’est p’t être par désespoir
Du moins c’est ce que disent les journaux du soir

C’est la panique sur les boulevards
Quand il arrive en ville

« Laisse béton » (version DSK fantasmée)

« J’étais tranquille, j’étais peinard.
Champagne au frais et puis caviar.
Quand une soubrette vivement
S’jeta sur moi soubretticement.
Et elle s’est approchée de moi
Et alors elle m’a dit comme ça :

« Toi tu m’bottes
Mon pote… »

Mais j’ai pas eu le temps de lui dire : « laisse béton »

 

 

 

 

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