La supercherie d’Obama

On nous dit à présent que « Une seule des cinq personnes tuées dans l’assaut des Forces spéciales américaines contre le repaire de Ben Laden au Pakistan était armée. C’est la nouvelle version des faits qu’a donnée jeudi un haut responsable du Pentagone, contredisant les précédentes déclarations officielles de la Maison-Blanche et de la CIA, qui faisaient état d’échanges de tirs intenses et prolongés dans la cache d’Abbottabad. » (Le Figaro)

Cela montre une fois encore qu’on nous ment. La première version « hyper officielle » parlait d’échanges nourris de tirs.

Mais armés ou pas armés, cela ne change rien : l’élite spéciale chargée de l’opération n’est pas formée pour faire de quartiers ; elle a mission d’abattre et pas de faire des prisonniers. Payée pour abattre hommes, femmes, enfants.

Pourquoi les Américains se sont-ils crus permis de violer l’intégrité d’un Etat et le Droit international pour aller abattre femmes et enfants au Pakistan ? La seule excuse qu’il pouvait avancer était la capture de Ben Laden. Cette carte, ils l’ont utilisée. Mais que faisaient-ils réellement ? Quel était le véritable but de cette opération puisqu’il est notoire à présent qu’il n’y a aucun cadavre de Ben Laden.

Tout ceci ressemble à une vaste supercherie face à laquelle tout citoyen libre et pensant ne peut qu’adopter une attitude très critique. Sans disposer malheureusement des moyens qu’ont les journalistes pour enquêter. Le nombre de « complotistes » comme disent les journalistes perroquets du Pouvoir, ne peut que gonfler. L’ONU commence à s’agacer de l’absence totale de crédibilité des explications officielles de la Maison Blanche et réclame la divulgation complète des faits. L’ONU serait-elle aussi un  nid de complotistes ?

La haut commissaire de l’ONU aux droits de l’homme estime que « le monde a le droit de savoir exactement ce qui s’est passé« . Mais les Américains estiment, eux, qu’ils n’ont aucun compte à rendre au monde. C’est pour eux une affaire qui s’est déroulée dans leur jardin, la terre entière étant leur jardin.

On a voulu donner au peuple américain la vérité consolante qu’il attendait. La Raison a été écartée au seul profit de l’émotion. On sait désormais comment mener les foules comme on l’entend, cela sera utile pour toutes les élections à venir.

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