I
J’écoutais Mélody Nelson,
Quand Mélodie et Neil sonnent.
J’écoutais Mickaël Jackson,
Quand Mickaël et Jacques sonnent.
N’interrompez pas ma musique
Ou je vous reçois à coups de trique.
C’n’étaient qu’les Témoins de Jéhovah.
Mais le goût d’la musique s’en va.
II
Alors je repose ma Gibson
Et je regarde Mel Gibson.
Un bon acteur, ce Nicholson.
Mais bien sûr Jacques et Nicole sonnent !
N’interrompez pas mon cinoche
Ou je vous fous des coups de pioche.
Mais ce n’était que le facteur.
Tant pis ! Trop tard pour les acteurs.
III
La télé nous parle de Nixon
Et bien sûr aussitôt Nick sonne.
La télé parle du plan Paulson.
Et à ma porte Jean-Paul sonne.
Coupez pas mon documentaire
Ou je vais vous jeter parterre.
C’était encore un coup des mioches.
Mais je laisse tomber le cinoche.
IV
Je veux regarder Charles Bronson,
Le sosie de Jackie Brown sonne.
ça chauffe dans mon film, une claque sonne,
Alors le jeune voisin klaxonne.
Je sais qu’on n’est rien sans personne
Et à ma porte mon grand-père sonne.
La jolie médium Allison
Me dit qu’à la porte Ali sonne.
Finalement j’me prends pour Bronson
Je hurle, et le mot de Cambronne sonne !
Ah ! C’était toi, mi corazon… »
T’es revenue de Carcassonne !
P.S : Alors, quoi ça sonne, non ?
Chanson inspirée par le programme télé du jour qui annonce un film sur Gainsbourg à la télé ce soir. Il était fort ce Gainsbarre malgré ses rimes pauvres quand il était pas dans les clous. Lapointe, lui, était à la pointe ! Savez-vous qu’il était un brillant mathématicien et qu’il a fait valider une théorie mathématique ?