Chanson (parodie de notre grand Johnny)
Alliot-Marie, si tu savais
Tout le mal que tu nous fais
Alliot-Marie, si tu pouvais
Dans ta connerie
Te reposer
La Tunisie n’est pas la France.
Tu n’as aucun droit d’ingérence
Pourtant au tyran tu offrais
Ton aide infâme et insensée.
Et rien ne sera jamais plus pareil
Tu dis plus d’horreurs que de merveilles
Tu es devenue folle à lier
Je donnerais tout pour t’oublier
Alliot-Marie, si tu savais
Tout le mal que tu nous fais
Alliot-Marie, si tu pouvais
Dans ta connerie
Te reposer
Elle court toute la journée
Ta bêtise et c’est mauvais
Dans le bruit dans la fumée
Je vois des ombres s’entretuer
Demain ce sera le grand jour
Il faudra faire preuve de bravoure
Pour monter au front en première ligne
Alliot-Marie, je t’en prie, fais-moi un signe
Tu nous a donné la gerbe, je m’éveille
J’ai vu la mort dans son plus simple appareil
Elle m’a promis des vacances
Oui la mort m’a promis sa dernière danse
Alliot-Marie, si tu savais
Tout le mal que tu nous fais
Alliot-Marie, j’attendrai
Que l’Enfer vienne
Pour te trouver
Ce texte est dédié à Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur jusqu’en Tunisie et étrangère aux affaires étrangères et qui voulait combattre la chienlit par la bénalie…Jean (Alliot)-Marie Le Pen voulait sans doute enseigner la gégènothérapie aux milices de Ben Ali pour mater les « terroristes » tunisiens…On me dira « point Godwin ». Je répondrai « Point du tout : apprenez à reconnaître les méthodes fascistes quand elles sont sous votre nez ! »