Dis-moi qui t’acclame, je te dirai qui tu es. Ces derniers temps, le président (dont je m’interdis de prononcer le nom, par sentiment de honte nationale) a vu sa cote monter en flèche. Oui en flèche ! Mais pas dans l’opinion publique générale : au FN et dans le clan de Silvio Berlusconi.
Au vu des incidents pitoyables de ces derniers jours (insulte à l’égard du Luxembourg, de l’Allemagne, de l’Europe), on peut s’attendre à voir arriver à la tête du G20 un Nicolas Berluskozy gonflé à bloc.
Nicolas Berluskozy (ou « président Sale Con »), veut utiliser deux tremplins pour réussir 2012 : celui du G20 qui lui sera une tribune. On sait que le précédent G 20, en 2008, lui avait permis de se faire une stature sur le plan international. Second tremplin : la peau des Roms qu’il piétinera plus que jamais pour se rehausser au niveau tellement estimable des racistes et du Front National.
Juste après l’épisode « un sale con à New York », viendra la série « Plus beau grâce au G20 ».
Il n’empêche, il restera désormais et pour toujours un Nicolas Berluskozy…