I
Tout le génie de Wolfgang
Ne saurait bien exprimer
Les affres de mon coeur exsangue
Que tu as tant comprimé.
Il n’existe aucune langue
Pour dire mon amour brimé.
II
Comme un hareng qu’on harangue
Je trouve la note salée.
Un navire que la mer tangue,
Qu’le capitaine laisse aller
Vers le dangereux Triangle
Ne serait pas plus déprimé.
III
Je n’connais aucune langue
Qui saurait bien imprimer
Les mots serrés dans une gangue
Que je n’ose t’exprimer.
Même la langue des gangs
Même la langue de Crimée.
IV
Tout le génie de Wolfgang
Ne saurait bien exprimer
Les affres de mon coeur exsangue
Que tu as tant comprimé.
Il n’existe aucune langue
Pour dire mon amour brimé.
Voris Bian 31 juillet 2011