Le plan de rigueur, décidé par le lobby des riches (Sarkozy et sa clique) a été très discuté par les autres lobbies à l’Assemblée qui l’a adopté. Dans la foulée, le plan d’aide aux riches, aux fraudeurs, et aux corrompus grecs, a été adopté aussi. Il sera financé par les efforts du peuple français, à l’exception des riches qui sont dispensés.
Deux socialistes ont voté pour le plan de rigueur : Jérôme Cahuzac et François Hollande. Comme cela s’est su, ils ont déclaré que c’est par erreur. François Hollande qui se dit très préoccupé par l’état des comptes avait préféré faire l’Assemblée buissonnière plutôt que de venir participer aux débats auxquels il dit tenir. Il a laissé Cahuzac voter pour lui.
Il faut dire que, François Hollande, les comptes ce n’est pas son truc. Il dirige le département qui a le plus fort endettement par tête de l’Hexagone. Il continue de mettre cette situation catastrophique sur le compte de la droite mais cela fait belle lurette que la droite n’est plus aux commandes du Conseil général qu’il dirige. Hollande continue de financer à grandes pompes les somptuaires dépenses du musée Chirac qui ruine les contribuables ! Les copains d’abord, quoi.
Comme dit Ségolène Royal au Figaro, «Le point faible de François Hollande, c’est l’inaction. Est-ce que les Français peuvent citer une seule chose qu’il aurait réalisée en trente ans de vie politique ? Une seule ? » Bonne question. Je réfléchis… et non ! Rien ! Il n’a jamais essaysé de sauver son département en faillite, bien au contraire. Il a préféré sacrifié des dépenses d’investissements utiles que de fermer le musée de Sarran où personne ne se rend, ce culte à la folie des grandeurs de son fondateur, le multi-délinquant ex-président de la République touché par la grâce de l’oubli…