Chanson du dimanche. 😉
I
Ils étaient trois
Mais c’n’étaient pas les rois mages.
Aucun des trois
Ne sera jamais sur les images.
Pirate des mers, démerde-toi !
Boucaniers, flibustiers
Jamais sûr de rester entier
Si on t’attrape c’est bon pour toi.
Refrain :
Gare à tribord !
Voilà la pire des racailles
Qui nous aborde vaille que vaille
Qui gagne sa croûte
Coûte que coûte
Qui assassine par tous les temps,
Et nous pille tant que tant.
II
Ce n’était pas la sainte-Trinité.
Plutôt la lie de l’humanité.
Ils étaient durs méchants crasseux
Et surtout ils étaient paresseux.
Mais quand il fallait passer le détroit
Le détroit de Bosphore,
Il y avait toujours un des trois
Qui criait « Les gars, on bosse fort ! »
Refrain :
Gare à tribord !
Voilà la pire des racailles
Qui nous aborde vaille que vaille
Qui gagne sa croûte
Coûte que coûte
Qui assassine par tous les temps,
Et nous pille tant que tant.
III
Trois pirates. L’un barbe rousse,
L’autre barbe noire et l’autre imberbe
C’est cui-là qui foutait la frousse.
C’était vraiment d’la mauvaise herbe.
Jamais besoin de renfort
Quand ils ramassent des amphores.
Ni pour re compter le butin
Ni pour se payer des putains.
Refrain :
Gare à tribord !
Voilà la pire des racailles
Qui nous aborde vaille que vaille
Qui gagne sa croûte
Coûte que coûte
Qui assassine par tous les temps,
Et nous pille tant que tant.
IV
Ces trois-là n’auront pas leur buste
Sur les remparts de Saint-Malo.
Ce sont des gars de la flibuste
Pas des Surcouf. Ah ! Les salauds !
Quand tu voyais le drapeau noir
Sur la mer, ces affreux lascars
Qui jaillissaient de leur repaire,
Tu récitais trois Notre-Père…
Refrain :
Gare à tribord !
Voilà la pire des racailles
Qui nous aborde vaille que vaille
Qui gagne sa croûte
Coûte que coûte
Qui assassine par tous les temps,
Et nous pille tant que tant.