Donnez-nous les noms !
La France d’Après, par la voix de la chancellerie, exige qu’on lui donne chaque jour les noms des magistrats mutins en vue de sanctions. Car, c’est devenu une tendance lourde de la France d’Après : on n’écoute pas les revendications, on réprime seulement (« j’écoute mais je ne tiens pas compte »). Les noms doivent être livrés chaque jour avant 10 h 30 pour la vacation du matin, avant 15 h 30 pour celle de l’après-midi. Et la chancellerie attend un bilan définitif au plus tard le 17 février, avec « un rapport sur le déroulement de ce mouvement ».
Donnez-nous les faciès !
Là, c’est la gendarmerie d’Alsace (rattachée récemment à l’Allemagne) qui exige que la population dénonce tout étranger à faciès de pays de l’Est. La France d’Après qui, par sa totale incompétence en matière de police, a fait monter les actes de cambriolages se rattrape comme toujours sur des groupes ethniques. Le populisme fait oublier l’incompétence. A lire ici.
Pour faciliter les choses à la France d’Après, celle-ci devrait adopter le logiciel de cette banque luxembourgeoise qui bloque un virement de quelques centaines d’euros à la seule vue de deux prénoms « Ali », « Mohamed » (lire ici). A moins qu’elle ne l’ait déjà ? « Coupat » donc coupable », « breton » donc « connard », « juge » donc « ennemi », « ROM » donc « délinquant », « laïc » donc « être inférieur », « pédophile » donc « monstre génétiquement programmé », « pauvre » donc « racaille »…