Sur l’air de la Cucaracha (chanson politique)
(Rappel du refrain :
La cucaracha, la cucaracha,
Ya no puede caminar ;
Porque no tiene, porque le falta
Marijuana que fumar)
Cucaracha, coup d’Karachi
Quand Jacques Chirac a, quand Jacques Chirac a
Asséché les commissions,
L’ami Edouard a, l’ami Edouard a-
Vait déjà pris dix millions.
Le coup d’Chirac a, le coup d’Chirac a,
Coupé sans compromission,
Et vade retro et vade retro !
Toutes les rétrocommissions.
Qui parle des millions ? Qui parle des millions ?
C’est monsieur Charles Millon.
Avec un tel nom, avec un tel nom,
On aurait dû voir nom de nom !
Le renard de la fable, le renard de la fable
Nous dit que c’est une fable.
Le renard de la fable, le renard de la fable
Ne se montre pas affable.
Car s’il se défile, car s’il se défile
Devant tous les journalistes,
S’il trouve pas d’lampiste, s’il trouve pas d’lampiste,
Il les traite de pédophiles.
Le coup d’Karachi, le coup d’Karachi
Tourne au crêpage de chignons.
Le coup d’Karachi, le coup d’Karachi
Fait vaciller Matignon.
Le coup d’Karachi, le coup d’Karachi
C’est une affaire de pognon,
Le coup d’Karachi, le coup d’Karachi,
C’est un immense gâchis.
Karachi-raquie, karachi-raquie !
C’est pas Karachi-da Dati.
Ni Bernard Tapie ni Bernard Tapie.
C’est l’héritage de chiraquie !
Mais c’est Chirac qui, mais c’est Chirac qui
A stoppé les commissions.
Je l’ai bien compris, je l’ai bien compris.
C’est dans le début d’ma chanson…
Voris Bian.