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Mon site artistique : La Taverne des poètes contient mes poésies, mes musiques ainsi que mes nombreux articles sur ces thématiques.

Une réponse à Mes sites web

  1. DOGON dit :

    Bonjour Taverne,
    Depuis le temps que je suis vos commentaires et votre oeuvre, je vous propose une nouvelle petite chanson, celle-ci (refusée par AV).
    A vous d’en faire selon votre bon plaisir mais, svp, citez-moi car elle est de ma responsabilité.
    Et si vous souhaitez une collaboration, ce serait avec un immense plaisir que j’accepterais.

    ALLO, ENFANTS DE LA PATRIE !

    Allo, enfants de la patrie,
    Les jours de larmes sont arrivés,
    Contre nous tous, une fratrie,
    Par le viol nous est imposée.

    Entendez-vous dans vos banlieues,
    Ces enfants sans pouvoir et sans foi,
    Crier jusqu’au plus haut des cieux,
    Pas de karcher et plus de toi.

    Aux larmes, Citoyen,
    Tu gardes le droit de te taire,
    De vivre comme un moins que rien,
    De te taire pour ne pas déplaire.

    Allo, enfant de la patrie,
    Il faut un jour, te réveiller,
    Ou les laisser faire leur conneries,
    Et admettre de te faire baiser.

    Il y a eu un jour maudit,
    Où beaucoup se sont fait tromper,
    Sur des slogans de saloperie,
    Nous nous sommes tous fait enculer.

    Aux drames, mes voisins,
    Les mouchoirs ne suffisent plus,
    Retenons-nous, main dans la main,
    L’avenir n’est pas perdu.

    Souvenons-nous de nos grands-pères,
    Ces brillants qui avaient tant d’honneur,
    À dresser leurs majeurs si fiers,
    Pour abattre les prédateurs.

    Où sont-elles nos belles campagnes,
    Où on faisait pousser du blé ?
    Perdues et noyées sous les charmes,
    De propagandes prostituées.

    Aux armes, citoyens,
    Arrêtez de baisser le cou,
    Vous ne verriez que vos prochains,
    Mourir de froid et sous les coups.

    Si, aujourd’hui, on laisse tomber,
    Que vivront nos enfants demain,
    Une vie sans humanité,
    Les laisserons-nous comme des larbins ?

    Déjà, à cette heure, ils se plaignent,
    D’une planète dévastée,
    Et, comme des cons, faut qu’on les retienne,
    De ne pas prendre l’Elysées.

    Ressentez-vous toutes ces entailles,
    À force de baisser les bras,
    Ceux qui vous arrachent les entrailles,
    Et ne vous laissent aucun choix.

    Aucun n’a vu dans sa campagne,
    Surgirent ces étranges soldats,
    Qui non seulement baisent nos compagnes,
    Mais, en plus, leur piquent leurs bas.

    Alarme, citoyen,
    La France n’est pas ce que t’entends,
    Change de chaîne, changes-en bien,
    Car TF1 n’est pas très franc.

    La Hongrie doit reprendre son sbire,
    Même de première génération,
    Car en France, on ne fait pas pire,
    Pour parler de l’immigration.

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